par nilton.ortega@telomere.ch | Mai 9, 2025 | Point sur les marchés
Avril 2025 a été un mois particulièrement mouvementé pour les marchés, marqué par des chocs de politique économique et une volatilité rappelant les périodes de crise. Les nouveaux droits de douane imposés par le président Trump ont déclenché une correction rapide et brutale, ébranlant la confiance des investisseurs et provoquant aux US une baisse généralisée de toutes les grandes classes d’actifs dans une rare « triple correction », un phénomène habituellement observé sur les marchés émergents.
par nilton.ortega@telomere.ch | Avr 11, 2025 | Point sur les marchés
En mars, les marchés financiers ont été marqués par une volatilité accrue et des développements macroéconomiques importants, alors que nous essayions d’évaluer l’impact des nouvelles politiques commerciales américaines et de l’évolution des conditions économiques mondiales.
par nilton.ortega@telomere.ch | Mar 19, 2025 | Point sur les marchés
Février a été un mois difficile pour les marchés, marqué par une volatilité accrue et un regain de tensions géopolitiques. L’économie américaine, qui avait mené le récit de la reprise mondiale, est désormais confrontée à une incertitude croissante.
par nilton.ortega@telomere.ch | Fév 12, 2025 | Point sur les marchés
Le mois de janvier a tenu les investisseurs en haleine, les marchés passant de l’optimisme à la peur face à l’évolution sismique de l’IA dans les valorisations technologiques et aux droits de douane américains sur les membres de NAFTA, désormais retardés.
par nilton.ortega@telomere.ch | Jan 15, 2025 | Point sur les marchés
Les marchés ont terminé l’année 2024 sur une note plus faible, le mois de décembre ayant été marqué par des reculs, les investisseurs ayant assimilé les signaux d’un ralentissement de sa politique monétaire de la part de la Réserve fédérale.
par nilton.ortega@telomere.ch | Déc 10, 2024 | Point sur les marchés
Les élections US ont introduit une nouvelle dynamique, la victoire des Républicains amenant le marché à s’attendre à une croissance plus forte, à une inflation plus élevée et, par conséquent, à moins de réductions des taux d’intérêt.